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- PANAME | la radio des chansons françaises, radio online, radio parisienne
PANAME est la radio des chansons françaises, des grandes chansons à texte. Essentiellement musicale, elle est installée à Paris. Programmation 100% chansons françaises musicale | gratuite | intemporelle | renouvelée tous les jours | en DAB+ depuis Paris et partout sur Internet la radio des chansons françaises. ÉCOUTER RADIO PANAME ↓ NOS RADIOS MUSICALES THÉMATIQUES ↓ LES ACTUALITÉS DE LA CHANSON FRANÇAISE Newsletter Chanson française : l’automne où Paris rallume ses refrains « Balavoine, Ma Bataille » : quarante ans plus tard, l’hommage vibrant à une voix qui nous traverse Benjamin Biolay rallume les Zénith : l’automne 2026 s’annonce électrique Véronique Sanson renaît avec « J’ai eu envie de vous revoir » Cœur de pirate déploie sa cavale : retour en France, Olympia en point d’orgue Julien Clerc et “L’Assassin assassiné” : la chanson devenue symbole de l’abolition, résonne au Panthéon pour Robert Badinter Tous les articles COMMENT ÉCOUTER VOTRE RADIO DE CHANSONS FRANÇAISES ? Fréquences et Apps Ecouter les belles chansons françaises de Radio PANAME! et nos webradios thématiques "Paris", et "Légendes"(chansons à texte) partout dans le monde sur votre ordinateur, smartphone, tablette, téléviseur, et enceintes connectées. Ecoute de musique gratuite. Ecouter aussi sur votre auto-radio, récepteur FM et DAB+ à Paris, Rouen, Marseille, Aix, Nice et Cannes. RETROUVER UN MORCEAU DIFFUSÉ SUR NOS RADIOS Retrouvez sans plus attendre, l’intégralité de notre programmation musicale et les plus belles chansons à texte. Retrouver un morceau LES PERLES À ÉCOUTER SANS ATTENDRE Véronique Sanson Francis Cabrel Alain Bashung Axelle Red Bernard Lavilliers Clara Luciani Michel Berger Thomas Dutronc Julie, Rouen « Chapeau l'équipe ! La crème de la crème de la chanson française. Higelin, Sanson, Berger, Cabrel, Bashung. Que du plaisir. » Sébastien, Paris 11e « Enfin une radio de vraies belles chansons. J'écoute tous les jours pour aller au travail, en DAB+ dans ma voiture.» Annie, Levallois « J'ai trouvé la radio qui me fait du bien à l'âme. Paname est un vrai concentré de bonheur. » applis TÉLÉCHARGER GRATUITEMENT NOTRE APPLICATION Ecouter la radio chanson française gratuitement et partout dans le monde sur smartphone, tablette, voiture. QUELQUES HISTOIRES SUR LA MUSIQUE Les chansons à texte aux USA et en Angleterre Chansons à texte : les secrets d’un héritage musical indémodable Paname : Histoire secrète du surnom le plus légendaire de Paris FAQ Page Qu'entendez-vous par 100% chansons françaises ? La programmation musicale diffusée sur notre radio principale, PANAME!, est exclusivement composée de chansons françaises et notamment de belles chansons à texte. Comment capter PANAME! en DAB+ à Paris ? Vous trouverez sur cette page tous les bons conseils pour écouter notre radio en DAB+ à Paris, chez vous ou en voiture. Avez-vous une application mobile ? 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VIDÉOS DE GRANDES CHANSONS FRANÇAISES Véronique Sanson Drole de vie Hasta Luego Le concert au Dome de Paris 2024 Julien Doré - Pourvu qu'elles soient douces ClassictypicM Medley Guitare L Heure Miroir Live video by Rod Maurice Francis Cabrel L encre de tes yeux Clip officiel Ce Qui Me Peine Stephan Eicher Zaho de Sagazan et tomodell Old Friend Live in London Show More LA RADIO DES CHANSONS FRANÇAISES, DES BEAUX TEXTES ET DES MÉLODIES ENVOUTANTES EN SAVOIR + Notre station de radio n’est pas seulement une source de musique, mais une expérience immersive où chaque chanson se déploie comme la bande originale d’un film, celui de votre vie : la radio chanson française. Par son approche unique de diffusion continue, RADIO PANAME est conçue pour ceux qui cherchent à s'immerger complètement dans la beauté de la chanson française. Notre programmation célèbre les paroles qui touchent le cœur et les mélodies qui captivent l'âme, offrant une échappatoire au quotidien. Chaque titre est soigneusement sélectionné pour enrichir votre expérience auditive, garantissant une qualité exceptionnelle qui parle à votre esprit et à votre cœur. RADIO PANAME est plus qu'une simple station de radio musicale ; c'est une communauté pour ceux qui vivent, respirent la chanson française, offrant une fenêtre sur le passé tout en célébrant le présent musical. Que vous soyez un nostalgique de la vieille école ou un explorateur de nouvelles tendances musicales, RADIO PANAME est votre destination privilégiée pour savourer la richesse de la chanson française. Écoutez notre radio en direct et laissez la musique vous transporter. Plongez dans l'univers d'artistes francophones légendaires et explorez leur musique. Un voyage musical mémorable vous attend grâce à la radio chanson française. LES CHANTEUSES FRANÇAISES ET LES CHANTEURS FRANÇAIS RADIO PANAME, votre univers sonore dédié à célébrer les voix et les mélodies qui ont façonné la chanson française. Notre sélection méticuleuse inclut notamment des légendes incontournables telles qu'Alain Bashung , dont la poésie rock nous hante bien après les premières notes. Francis Cabrel et ses mélodies douces qui racontent la France des villes petites et des grandes émotions. Étienne Daho , le dandy de la pop française qui a su traverser les décennies avec style. Serge Gainsbourg , l'enfant terrible de la musique française, dont l'œuvre provocante et poétique continue d'inspirer. Bernard Lavilliers , avec sa voix rauque et ses textes engagés qui nous transportent dans des récits de voyages et de luttes. Véronique Sanson , et son piano passionné qui a su capturer l’essence des sentiments humains. Alain Souchon , poète des temps modernes, qui observe avec tendresse et ironie les petits riens de la vie. Jean-Louis Aubert , la voix du rock poétique français. Juliette Armanet , la nouvelle étoile de la chanson française avec ses textes ciselés et sa voix cristalline. Clara Luciani , qui apporte un vent de fraîcheur avec ses mélodies entraînantes et ses paroles percutantes. Aussi sur Radio PANAME! grandes chansons françaises radio Paris radio online Écouter la radio Sanson Bashung Sagazan Cabrel Armanet Lavilliers Souchon Aubert Gainsbourg Roussel Luciani -M- Voulzy Eicher Doré Mitchell Écouter la radio en ligne Les chansons à texte Daho Origine de Paname Chansons françaises années 70 Chansons françaises années 80 Chansons françaises années 90 La radio des chansons françaises, élégante, et exclusivement musicale. newsletter
- Actualites (List) | Radio Paname
Les actualités musicales et parisiennes de la radio PANAME Actualités de Paname Chanson française : l’automne où Paris rallume ses refrains De l’Olympia aux petites salles, je vois Paris vibrer : Mireille Mathieu rassemble, Vanessa Paradis revient, Louane retarde pour mieux remplir, Calogero apprivoise les théâtres, et la jeune garde (Santa, Leman…) pousse les murs. Une saison de contrastes, de reprises, d’aveux – en somme, une France qui chante, encore et toujours. Lire la suite... Benjamin Biolay rallume les Zénith : l’automne 2026 s’annonce électrique J’ai entouré la date au stylo bleu : à l’automne 2026, Benjamin Biolay prend d’assaut les Zénith. Paris, Nantes, Lille… la billetterie s’ouvre et la rumeur enfle déjà dans les files d’attente virtuelles. Une tournée pensée grand format, sans renoncer à la précision des mots. Lire la suite... Cœur de pirate déploie sa cavale : retour en France, Olympia en point d’orgue La reine de la chanson francophone, Cœur de pirate, revient hanter les scènes avec une intensité nouvelle : le 12 mars 2026, elle investira l’Olympia à Paris pour une date événement, au cœur de sa tournée Cavale, portée par un nouvel album éponyme sorti à l’automne 2025. Lire la suite... « Balavoine, Ma Bataille » : quarante ans plus tard, l’hommage vibrant à une voix qui nous traverse Un spectacle-hommage inédit ressuscite l’esprit de Daniel Balavoine avec ses anciens musiciens et sept voix d’exception — pour une tournée forte de sens à travers la France. Lire la suite... Véronique Sanson renaît avec « J’ai eu envie de vous revoir » Après neuf ans d’absence, Véronique Sanson signe son grand retour avec « J’ai eu envie de vous revoir », une ballade poignante où l’artiste retrouve la scène et son public avec la sincérité et la grâce qui font sa légende. Lire la suite... Julien Clerc et “L’Assassin assassiné” : la chanson devenue symbole de l’abolition, résonne au Panthéon pour Robert Badinter Lors de la panthéonisation de Robert Badinter, Julien Clerc a interprété L’Assassin assassiné, chanson mythique écrite par Jean-Loup Dabadie en 1971. Retour sur l’histoire d’un titre bouleversant, censuré à sa sortie, devenu au fil des décennies l’hymne de l’abolition de la peine de mort. Lire la suite... Ben Mazué à l’Olympia le 19 novembre 2025 : une soirée annoncée comme un sommet d’émotion Ben Mazué sera en concert à l’Olympia le 19 novembre 2025. Une soirée unique où le chanteur-poète partagera ses textes sensibles et ses mélodies intimes dans la plus mythique des salles parisiennes. Lire la suite... Vincent Dedienne chante et dévoile un premier album inattendu L’acteur et humoriste dévoile un premier album inattendu, entre ironie douce et émotion sincère. Un virage artistique rare, finement orchestré, qui révèle une autre facette de son talent. Il réussit un pari rare : passer du rire à la chanson sans perdre son identité. Lire la suite... Albin de la Simone invite à un « Toi là-bas » dessiné et chanté À Paris en novembre 2025, Albin de la Simone propose Toi là-bas, un concert singulier mêlant chansons, dessins et confidences, à vivre au 104 dans une expérience intime et poétique. Lire la suite... Bénabar et Pascal Obispo ouvrent la saison avec “Reste-t-il du bonheur ?” — et une escale à l’Olympia en 2026 Bénabar dévoile « Reste-t-il du bonheur ? » en duo avec Pascal Obispo et annonce une date à l’Olympia le 29 avril 2026. Un duo rayonnant et de nouveaux horizons pour le chanteur de la « petite reine » Lire la suite... Slimane célèbre ses 10 ans de carrière avec une résidence intimiste à la Salle Pleyel Du 14 mai au 5 juin 2026, Slimane propose dix concerts piano-voix à la Salle Pleyel pour célébrer une décennie de chansons, dans un format intimiste, les yeux dans les yeux avec ses fans. Lire la suite... Michel Jonasz enchante France 2 avec un concert unique dans Basique Le chanteur Michel Jonasz offre le vendredi 3 octobre 2025, une heure de groove, d’émotion et de poésie dans l’émission musicale de France 2 « Basique, le concert ». Soirée exceptionnelle qui rassemble générations et sensibilités autour d’un artiste inclassable. Lire la suite... Daniel Balavoine : un concert-hommage exceptionnel à Paris pour célébrer 40 ans d’émotions Un unique concert-hommage à Paris le 21 novembre 2026 au Palais des Sports, viendra célébrer l’héritage de Daniel Balavoine, quarante ans après sa disparition. Un rendez-vous musical incontournable pour revisiter ses chansons emblématiques et mesurer l’empreinte indélébile laissée par cet artiste engagé et visionnaire. Lire la suite... Zaz : Sains et saufs, l’album le plus intime de sa carrière Dans son nouvel opus Sains et saufs, Zaz se livre sans fard à travers des chansons d’une rare intensité, entre fragilité, force et espoir. Un album intime où la chanteuse se révèle plus que jamais, portée par une écriture sincère et une quête de lumière. Lire la suite... Vanessa Paradis : un nouvel album attendu en octobre avec la complicité d’Étienne Daho À 52 ans, Vanessa Paradis signe son grand retour avec un huitième album disponible en octobre. Entre élégance pop, textes ciselés et la participation précieuse d’Étienne Daho, ce disque marque une nouvelle étape dans le parcours singulier d’une artiste qui n’a jamais cessé de surprendre. Lire la suite... Francis Cabrel célèbre les langues régionales avec Un gramme de terre Avec Un gramme de terre, Francis Cabrel signe une chanson inédite, vibrante et collective, portée par dix voix issues de diverses cultures régionales, pour rendre hommage à la richesse linguistique et musicale de nos terroirs. Lire la suite... Véronique : le documentaire qui nous plonge dans l’âme de Véronique Sanson Un film intime, des archives inédites, la voix de Véronique Sanson comme fil rouge Lire la suite... Trois trésors inédits de Charles Aznavour bientôt révélés Un coffret exceptionnel renferme des duos oubliés avec Ray Charles, Dalida… et la version méconnue de « Que c’est joli, Venise » Lire la suite...
- Chanson française : l’automne où Paris rallume ses refrains | Radio Paname
De l’Olympia aux petites salles, je vois Paris vibrer : Mireille Mathieu rassemble, Vanessa Paradis revient, Louane retarde pour mieux remplir, Calogero apprivoise les théâtres, et la jeune garde (Santa, Leman…) pousse les murs. Une saison de contrastes, de reprises, d’aveux – en somme, une France qui chante, encore et toujours. < Retour 25 octobre 2025 E.Rials, rédacteur Chanson française : l’automne où Paris rallume ses refrains De l’Olympia aux petites salles, je vois Paris vibrer : Mireille Mathieu rassemble, Vanessa Paradis revient, Louane retarde pour mieux remplir, Calogero apprivoise les théâtres, et la jeune garde (Santa, Leman…) pousse les murs. Une saison de contrastes, de reprises, d’aveux – en somme, une France qui chante, encore et toujours. Facebook X (Twitter) WhatsApp LinkedIn Pinterest Copier le lien Je traverse le boulevard des Capucines et j’entends, par éclats, les refrains d’une mémoire collective : à l’Olympia, Mireille Mathieu fête « 60 ans d’amour » (24–26 octobre). L’icône populaire remonte sur la scène rouge avec l’assurance des grandes messagères : on vient pour la voix droite, le cérémonial, la reconnaissance d’une fidélité entre une chanteuse et son public. Les informations pratiques confirment la solide demande (tarifs, PMR, horaires) et l’évidence d’un rendez-vous patrimonial, au cœur de Paris. (jds.fr ) À quelques stations de métro, la Cigale prépare un autre retour, plus feutré : Vincent Delerm. Son nom claque sur l’affiche comme un murmure ironique, ces chansons qui racontent Paris avec des photogrammes de cinéma et des touches de piano. Les agendas culturels le placent en bonne place dans la catégorie « chanson », façon de rappeler qu’un auteur-compositeur peut remplir sans fracas, par la seule précision des mots. (L'Officiel des spectacles ) L’automne a aussi ses rituels nocturnes. Aux Folies Bergère, « La Nuit de la Déprime » rejoue son théâtre d’autodérision : un perroquet noir qui rassemble humoristes, chanteurs, complices d’un soir, pour faire rire de la mélancolie française. J’y vois une signature de notre époque : on soigne le spleen par la scène. Dans la programmation, c’est estampillé « chanson française » – preuve que le genre sait rire de lui-même, sans renier la tradition du music-hall. (jds.fr ) Et puis il y a la vague montante. Leman, annoncé à la Cigale fin octobre, symbolise cette génération qui aime mélanger l’intime et le spectaculaire, les guitares pop et l’attachement franc à la langue. On n’est plus dans le « renouveau » : c’est désormais le paysage. Les salles intermédiaires de la capitale servent d’incubateurs à cette énergie-là. (jds.fr ) Côté tendances grand public, un panorama mis à jour mi-octobre recense les locomotives du moment : Calogero, Vanessa Paradis, Gaëtan Roussel, Louane, Santa… Une sélection qui ressemble à une photographie honnête de la pop-variété française : des têtes d’affiche intergénérationnelles, capables de remplir les Zénith et, parfois, d’apprivoiser des théâtres à l’acoustique plus nue. (Sortir à Paris ) Vanessa Paradis, justement, signe l’un des récits les plus attendus. Nouveau disque (sortie annoncée au 10 octobre), nouveau tour, et Paris dans le viseur (Zénith en mai 2026, puis Accor Arena). On peut chipoter sur le calendrier, mais la dynamique est là : Paradis réinvestit la scène avec une écriture ciselée par Daho et Piérot – longtemps, la pop française a rêvé d’une telle continuité. (Sortir à Paris ) Calogero, lui, prend un virage élégant : quatre soirs au Théâtre des Champs-Élysées à l’été 2026. J’aime cette image : un songwriter populaire qui s’installe avenue Montaigne, comme pour tester ses chansons à la lueur du velours. C’est la preuve que la variété peut, elle aussi, chercher l’épure, l’écoute assise, la précision acoustique. (Sortir à Paris ) Louane avance autrement : le Zénith de Paris est reporté au 10 décembre 2025 – complet, déjà. Les reports sont souvent des casse-têtes logistiques ; ici, ils disent aussi l’épaisseur d’un public fidèle, prêt à patienter pour vivre l’instant. L’épisode Eurovision, rumeur puis démenti, rappelle combien nos chanteuses sont désormais des figures médiatiques totales : chaque date devient une narration. (Sortir à Paris ) Au chapitre des nouvelles forces, Santa continue sa percée. Deux Zénith de Paris en 2025, puis l’Accor Arena en 2026 : trajectoire accélérée, écriture franche, voix solaire. Elle coche toutes les cases du moment – puissance live, présence sur les festivals d’été, capacité à fédérer au-delà des chapelles. C’est l’une des réponses les plus convaincantes à ceux qui répètent que « la scène française n’aurait plus de stars ». (Sortir à Paris ) Enfin, pour prendre le pouls au quotidien, je me fie aux agendas qui quadrillent la capitale, de l’Officiel des spectacles aux grands agrégateurs. C’est une photographie en mouvement : on passe d’un chœur a cappella façon « social club » à la grande messe populaire de l’Olympia, des clubs aux salles historiques. Paris reste une ville où la chanson se pratique comme un art civique : on s’y rassemble, on y chante en français, on y règle aussi ses désaccords – sans cris, avec mélodies. Et si je devais ajouter une note personnelle, ce serait celle-ci : dans cette époque bousculée, la chanson française demeure une école de conversation. Elle nous apprend à dire « je » sans écraser le « nous ». (L'Officiel des spectacles ) Sources consultées (10 articles/références) : Agenda « Chanson française à Paris » (sélection Mireille Mathieu, Vincent Delerm, etc.). https://www.jds.fr/paris/agenda/chanson-francaise-136_B (jds.fr ) Mireille Mathieu – Olympia Paris (tarifs, horaires). https://www.infoconcert.com/ticket/concert-mireille-mathieu-paris/1622707.html (Info Concert ) Vincent Delerm – La Cigale (catégorie Chanson / Officiel des spectacles). https://www.offi.fr/concerts/chanson-slam.html (L'Officiel des spectacles ) « La Nuit de la Déprime » – Folies Bergère. https://www.jds.fr/paris/concerts/chanson-francaise/la-nuit-de-la-deprime-folies-bergere-paris-991665_A (jds.fr ) Leman – La Cigale (fiche événement). https://www.jds.fr/paris/concerts/chanson-francaise/la-nuit-de-la-deprime-folies-bergere-paris-991665_A (encart Leman en bas de page). (jds.fr ) « Chanson et variété françaises : 12 concerts à ne pas manquer » (mise à jour 16/10/2025). https://www.sortiraparis.com/scenes/concert-musique/guides/320509-chanson-variete-francaises-selection-concerts-a-ne-pas-manquer (Sortir à Paris ) Vanessa Paradis – Zénith Paris 2026 / nouvel album annoncé. https://www.sortiraparis.com/en/what-to-see-in-paris/concerts-music-festival/articles/333759-vanessa-paradis-concert-accor-arena-paris-2026 (Sortir à Paris ) Calogero – Théâtre des Champs-Élysées 2026. https://www.sortiraparis.com/en/what-to-see-in-paris/concerts-music-festival/articles/332693-calogero-concert-paris-theatre-champs-elysees-2026 (Sortir à Paris ) Louane – Zénith de Paris reporté au 10/12/2025. https://www.sortiraparis.com/scenes/concert-musique/articles/304498-louane-au-zenith-de-paris-concert-reporte-en-decembre-2025 (Sortir à Paris ) Santa – Zénith de Paris (2025) puis Accor Arena (2026). https://www.sortiraparis.com/en/what-to-see-in-paris/concerts-music-festival/articles/313879-santa-in-concert-at-zenith-de-paris-in-2025-additional-date et https://www.sortiraparis.com/en/what-to-see-in-paris/concerts-music-festival/articles/323131-santa-in-concert-at-the-paris-arena-in-april-2026 (Sortir à Paris ) Pour aller plus loin, en apprendre d'avantage : Facebook X (Twitter) WhatsApp LinkedIn Pinterest Copier le lien Précédent Suivant
- Bénabar et Pascal Obispo ouvrent la saison avec “Reste-t-il du bonheur ?” — et une escale à l’Olympia en 2026 | Radio Paname
Bénabar dévoile « Reste-t-il du bonheur ? » en duo avec Pascal Obispo et annonce une date à l’Olympia le 29 avril 2026. Un duo rayonnant et de nouveaux horizons pour le chanteur de la « petite reine » < Retour 5 octobre 2025 E.Rials, rédacteur Bénabar et Pascal Obispo ouvrent la saison avec “Reste-t-il du bonheur ?” — et une escale à l’Olympia en 2026 Bénabar dévoile « Reste-t-il du bonheur ? » en duo avec Pascal Obispo et annonce une date à l’Olympia le 29 avril 2026. Un duo rayonnant et de nouveaux horizons pour le chanteur de la « petite reine » Facebook X (Twitter) WhatsApp LinkedIn Pinterest Copier le lien En cette rentrée 2025, Bénabar revient sous le feu des projecteurs avec de belles promesses : un nouveau single, une tournée ambitieuse, et — pour la première fois — un duo avec Pascal Obispo. Le titre inédit « Reste-t-il du bonheur ? » , entre clair-obscur et optimisme, se positionne comme l’un des jalons d’un prochain album très attendu. Et du côté de la scène, l’artiste annonce, entre nostalgie et renaissance, un passage à l’Olympia en avril 2026. Le duo inattendu et lumineux C’est une première : Bénabar et Pascal Obispo, amis de longue date, s’unissent pour une création commune. Le single « Reste-t-il du bonheur ? » marque le premier duo officiel entre les deux artistes, jusqu’alors croissés dans des contextes divers, mais jamais réellement associés sur un morceau. Dans leur interview respective, Obispo évoque un projet mûri avec le temps, un désir de partager une expression artistique commune : « On s’est croisés plusieurs fois… mais ce projet m’a donné envie de chanter avec lui ». Le texte du duo explore les tensions entre les moments sombres et la quête de lumière : à travers des mots simples mais sensibles, il invite l’auditeur à questionner la place du bonheur dans une époque incertaine. Au-delà du message, c’est aussi une alliance de styles : Bénabar, chant populaire à texte, ajoute une touche de maturité à sa démarche, tandis qu’Obispo apporte son sens de l’arrangement et de la mélodie. Le cocktail est prometteur. Un nouvel élan pour Bénabar L’annonce du duo n’est pas un événement isolé. Bénabar entend profiter de 2025 pour repenser son univers musical. Il prépare un onzième album, sans titre encore officiel, qu’il qualifie de « joyeux », oscillant entre légèreté et gravité — un équilibre dans lequel il excelle depuis ses débuts. Deux extraits ont déjà été dévoilés : « Elles dansent », inspiré par le lien familial, et « Reste-t-il du bonheur ? ». Ces premiers pas donnent le ton — une tonalité à la fois intime et universelle, attachée au quotidien sans renoncer à l’émotion. Une tournée ambitieuse et l’Olympia comme point d’orgue Bénabar n’a pas oublié la scène. En 2026, il repartira en tournée, avec pour point d’orgue une date à l’Olympia le 29 avril 2026 (réservations et informations ici) . Les places sont mises en vente depuis le 3 octobre 2025. Cet engagement scénique souligne sa volonté de renouer le lien direct avec le public, dans des salles choisies, symboliques, où l’intimité peut côtoyer la solennité. L’Olympia, temple de la chanson française, prend ici une dimension presque symbolique : celui d’un artiste qui, après tant d’années, revient à ses fondamentaux sans sacrifier l’audace. On peut y voir un pari autant artistique que d’écriture de carrière. Pourquoi ce retour résonne Ce retour a plusieurs résonances : La fidélité à l’écriture : Bénabar reste l’un des rares artistes français à conjuguer humour, poésie et regard social sans verser dans le cynisme. La contemporanéité : le duo avec Obispo et la thématique du bonheur dans un monde en crise le replacent dans le présent, avec ses doutes et ses envies. La stratégie intelligente : sortir des extraits avant l’album, annoncer une tournée prestigieuse, et susciter une attente autour de l’Olympia sont des choix qui conjuguent marketing musical et sincérité artistique. L’effet d’amitié : cette alchimie créée avec Obispo donne une aura supplémentaire au projet, car elle suscite curiosité et symbolique forte. Avec « Reste-t-il du bonheur ? » , Bénabar Ouvre une nouvelle page. Il conjugue le bonheur comme question ouverte, se remet en mouvement sur scène, et partage une connivence artistique avec Pascal Obispo. Le public francophone peut s’attendre à un album sensible, à un duo qui marque, et à une tournée où la voix et le texte retrouveront toute leur place — dans la chaleur d’une salle mythique comme l’Olympia. Pour aller plus loin, en apprendre d'avantage : https://www.olympiahall.com/agenda/benabar/ Facebook X (Twitter) WhatsApp LinkedIn Pinterest Copier le lien Précédent Suivant
- Slimane célèbre ses 10 ans de carrière avec une résidence intimiste à la Salle Pleyel | Radio Paname
Du 14 mai au 5 juin 2026, Slimane propose dix concerts piano-voix à la Salle Pleyel pour célébrer une décennie de chansons, dans un format intimiste, les yeux dans les yeux avec ses fans. < Retour 4 octobre 2025 E.Rials, rédacteur Slimane célèbre ses 10 ans de carrière avec une résidence intimiste à la Salle Pleyel Du 14 mai au 5 juin 2026, Slimane propose dix concerts piano-voix à la Salle Pleyel pour célébrer une décennie de chansons, dans un format intimiste, les yeux dans les yeux avec ses fans. Facebook X (Twitter) WhatsApp LinkedIn Pinterest Copier le lien C’est un retour tout en émotion que prépare Slimane pour célébrer une étape symbolique : ses dix ans de carrière. Entre retrouvailles avec son public et choix artistique affirmé, l’artiste français investira la mythique Salle Pleyel à Paris dans une série de dix concerts du 14 mai au 5 juin 2026 — en format piano-voix, accompagné de son complice Yaacov Salah. Un moment à part, où la simplicité sera au service de l’intensité. Une résidence pour renouer avec l’essentiel Après une période de silence, Slimane revient en force, non pas avec une tournée spectaculaire, mais avec une proposition humble et sincère : dix soirées intimistes dans l’acoustique raffinée de la Salle Pleyel. Le concept est clair — chaque mot, chaque note, chaque silence compte. C’est le même Slimane que ses premiers fans découvrirent qui se tient derrière le micro, sans effets superflus, juste la voix et le piano. Cette approche vient comme une réponse aux modes actuels, un désir de revenir à l’essence même de la chanson. « Mon rêve, c’est de fêter cet anniversaire sur scène, comme au premier jour, en piano-voix, accompagné de mon ami Yaacov Salah », a-t-il écrit sur ses réseaux. Le choix de Pleyel n’est pas anodin : salle prestigieuse, acoustique réputée, elle offre un écrin digne pour ce type d’expérience musicale. Dates, billetterie et conditions La résidence aura lieu du 14 mai au 5 juin 2026 , avec dix représentations proposées. Les billets seront mis en vente à partir du samedi 4 octobre à 10h00 , à des tarifs démarrant à 49 € , pouvant aller jusqu’à 95 € selon les catégories. On retrouve les dates suivantes : Jeudi 14 mai à 20h Vendredi 15 mai à 20h Samedi 16 mai à 20h Jeudi 21 mai à 20h Vendredi 22 mai à 20h Samedi 23 mai à 20h Dimanche 24 mai à 18h Samedi 30 mai à 20h Dimanche 31 mai à 18h Vendredi 5 juin à 20h Les places sont numérotées ; les catégories tarifaires varient, et des places à visibilité réduite seront proposées uniquement après l’épuisement des offres normales. Les billets seront accessibles via la billetterie officielle de la Salle Pleyel. Un parcours intense, entre triomphes et défi Depuis ses débuts en 2016 avec sa victoire à The Voice jusqu’à ses dernières tournées, Slimane a su construire un lien fort et fidèle avec son public. Son style, entre pop, influences urbaines et les accents de la chanson française, lui a permis de signer plusieurs succès. Son album Chroniques d’un Cupidon (2022) s’est écoulé à près de 250 000 exemplaires, et sa participation à l’Eurovision 2024 avec Mon amour lui a offert une belle visibilité, terminant quatrième. Pour cette décennie, l’artiste a également remonté dans le temps, partageant sur ses réseaux sociaux un compte à rebours illustré par ses affiches de concerts majeurs : de sa Cigale à Paris à l’Olympia, jusqu’à ses prestations avec Vitaa dans les grandes salles. C’est un hommage à ce chemin parcouru — mais aussi un nouveau départ. Cependant, ce retour s’inscrit dans une actualité délicate : Slimane a récemment été condamné à une amende de 10 000 € (dont 3 000 avec sursis) pour harcèlement numérique, dans le cadre de plaintes déposées par des techniciens. Ce verdict, très médiatisé, a eu un retentissement fort. Il n’a pas pris publiquement la parole à ce sujet, préférant laisser prioritairement la musique parler pour lui. Ce choix de la résidence intimiste peut être interprété comme une volonté de retrouver une relation directe, apaisée, avec ses auditeurs. Pourquoi cette résidence marque un tournant Cette série de concerts à la Salle Pleyel n’est pas simplement un concert événement : c’est une manière pour Slimane de se réaffirmer, de remercier, de revisiter ses chansons dans leur version la plus dépouillée. Les fans attendent d’être surpris, touchés, d’entendre les titres phares dans cette proximité rare — peut-être À fleur de toi , Viens on s’aime , ou le titre inédit récemment dévoilé À quoi je sers . La capacité limitée de Pleyel garantit une atmosphère unique — une salle assise, acoustique raffinée, silence, respiration — où la relation artiste-public redevient palpable. Pour Slimane, il s’agit de chanter « les yeux dans les yeux » avec ceux qui l’accompagnent depuis le début. Pour ses admirateurs, cette résidence représente une occasion précieuse de le retrouver dans un autre registre, loin des grands formats. Pour l’artiste, c’est une nouvelle manière de marquer cette étape décisive de ses dix années : ni tournée, ni clip grandiose, mais le geste le plus humble — offrir sa voix seule, pour rester au cœur de la chanson. L’aventure commence donc avec l’ouverture des billetteries ce 4 octobre. Quoi qu’on pense des controverses récentes, cette proposition artistique audacieuse pourrait bien redéfinir la suite du parcours de Slimane — une décennie après ses débuts, avec la même passion, mais enrichi par l’expérience et le désir de l’essentiel. Pour aller plus loin, en apprendre d'avantage : https://www.sallepleyel.com/evenement/slimane/ Facebook X (Twitter) WhatsApp LinkedIn Pinterest Copier le lien Précédent Suivant
- Zaz : Sains et saufs, l’album le plus intime de sa carrière | Radio Paname
Dans son nouvel opus Sains et saufs, Zaz se livre sans fard à travers des chansons d’une rare intensité, entre fragilité, force et espoir. Un album intime où la chanteuse se révèle plus que jamais, portée par une écriture sincère et une quête de lumière. < Retour 1 octobre 2025 E.Rials, rédacteur Zaz : Sains et saufs, l’album le plus intime de sa carrière Dans son nouvel opus Sains et saufs, Zaz se livre sans fard à travers des chansons d’une rare intensité, entre fragilité, force et espoir. Un album intime où la chanteuse se révèle plus que jamais, portée par une écriture sincère et une quête de lumière. Facebook X (Twitter) WhatsApp LinkedIn Pinterest Copier le lien Avec Sains et saufs , Zaz franchit une nouvelle étape artistique et personnelle. Loin des tubes festifs qui ont marqué ses débuts, la chanteuse choisit cette fois de s’exposer autrement, en mettant à nu ses doutes, ses cicatrices et ses renaissances. Elle confie avoir longtemps eu « le sentiment de se cacher », derrière des postures ou une énergie débordante, comme si la joie devait être une armure. Cet album vient briser cette carapace : il s’agit d’un disque de vérité, celui d’une artiste qui n’a plus peur de dire « je ». Un chemin de l’ombre à la lumière Ce projet est né d’une période de questionnement profond. Après une tournée éprouvante et plusieurs années de doute, Zaz a traversé une forme de noirceur dont elle ne se cachera pas. Elle explique avoir eu besoin de se retirer, de se confronter à elle-même, pour retrouver l’essentiel. Sains et saufs raconte ce parcours intérieur : de la douleur à la résilience, de la fragilité à l’apaisement. La musique, une fois encore, s’est imposée comme une voie de guérison. On y entend des ballades délicates, portées par des arrangements sobres, mais aussi des morceaux lumineux qui ouvrent des espaces d’air et de respiration. L’album, loin d’être uniforme, épouse les oscillations d’une âme en quête d’équilibre. Une écriture à la première personne Ce qui frappe d’abord, c’est la sincérité des textes. Zaz n’écrit pas seulement pour chanter, elle écrit pour dire qui elle est, où elle en est. Les paroles explorent la vulnérabilité, la peur de l’échec, mais aussi la force qu’on trouve dans l’amour et le lien aux autres. Chaque titre semble être une confidence. C’est cette proximité avec l’auditeur qui donne à l’album une puissance particulière : on a le sentiment d’écouter une amie qui se raconte, sans détour ni artifice. Dans Sains et saufs , la voix de Zaz se fait tour à tour fragile et flamboyante, comme un fil tendu entre les extrêmes de ses émotions. Plus feutrée que par le passé, elle porte une intensité nouvelle, celle de l’expérience et de la maturité. Une production épurée et élégante Musicalement, Zaz a choisi la sobriété. Les arrangements privilégient l’acoustique, laissant une grande place aux cordes et au piano, et refusent toute démonstration inutile. Le but est clair : mettre la voix et les mots au premier plan. Cette épure accentue le caractère intime du disque, qui se rapproche parfois du journal musical. Certains morceaux évoquent une forme de rituel, presque méditatif. D’autres ouvrent vers la célébration de la vie, comme une délivrance après l’ombre. On passe d’un climat introspectif à un souffle d’optimisme, reflet du chemin parcouru. Une artiste en renaissance Avec Sains et saufs , Zaz s’inscrit dans une démarche de vérité qui dépasse la musique. L’album témoigne de son envie d’assumer pleinement son identité, avec ses contradictions, ses fragilités et ses forces. Elle se révèle plus authentique que jamais, loin des attentes extérieures ou des étiquettes médiatiques. Ce disque marque ainsi une étape importante dans sa carrière : il ne s’agit pas seulement d’un nouvel album, mais d’une renaissance. Zaz n’est plus seulement la chanteuse d’« Je veux », symbole d’une insouciance communicative. Elle est désormais une artiste qui ose affronter son passé, ses zones d’ombre, pour en tirer une lumière nouvelle. Un message universel Au-delà de l’histoire personnelle, l’album touche à l’universel. Chacun peut se reconnaître dans ces chansons qui parlent de doutes, de blessures, mais aussi de la possibilité de se relever. En cela, Sains et saufs dépasse l’autobiographie pour devenir un compagnon de route pour ceux qui traversent des tempêtes intérieures. En se livrant avec une telle sincérité, Zaz rejoint une tradition de la chanson française qui fait de l’intime une œuvre collective. L’album, en ce sens, n’est pas seulement un témoignage : c’est une main tendue, une invitation à trouver sa propre lumière. Avec Sains et saufs , Zaz signe l’album le plus personnel de sa carrière. Sobre, intense et profondément humain, il raconte un voyage intérieur qui résonne bien au-delà de l’histoire de la chanteuse. C’est un disque de résilience et d’espérance, où la fragilité devient une force et où la sincérité éclaire chaque note. Plus qu’un simple retour, c’est une véritable déclaration : Zaz est là, pleinement elle-même, et plus vivante que jamais. Pour aller plus loin, en apprendre d'avantage : https://www.zouave.net/artiste/zaz/ Facebook X (Twitter) WhatsApp LinkedIn Pinterest Copier le lien Précédent Suivant
- Benjamin Biolay rallume les Zénith : l’automne 2026 s’annonce électrique | Radio Paname
J’ai entouré la date au stylo bleu : à l’automne 2026, Benjamin Biolay prend d’assaut les Zénith. Paris, Nantes, Lille… la billetterie s’ouvre et la rumeur enfle déjà dans les files d’attente virtuelles. Une tournée pensée grand format, sans renoncer à la précision des mots. < Retour 20 octobre 2025 E.Rials, rédacteur Benjamin Biolay rallume les Zénith : l’automne 2026 s’annonce électrique J’ai entouré la date au stylo bleu : à l’automne 2026, Benjamin Biolay prend d ’assaut les Zénith. Paris, Nantes, Lille… la billetterie s’ouvre et la rumeur enfle déjà dans les files d’attente virtuelles. Une tournée pensée grand format, sans renoncer à la précision des mots. Facebook X (Twitter) WhatsApp LinkedIn Pinterest Copier le lien Je me souviens de ce moment où sa voix, un peu voilée, a traversé la salle comme un phare dans la brume. Le grave, d’abord, puis une ligne de cordes qui s’invite en douce, et enfin ce battement régulier qui transforme l’intime en chœur collectif. L’annonce du jour confirme une série de concerts en Zénith à l’automne 2026, avec Paris en point de mire et des étapes prévues à Nantes et Lille. L’affiche dit clairement l’ambition : porter ces chansons au-delà des clubs et des théâtres, jouer avec l’espace, élargir le cadre sans diluer l’émotion. Je regarde le calendrier : l’axe automnal permettra cette tension que les grandes salles aiment tant, entre la fête et la confidence. Biolay sait composer avec les volumes : des arrangements qui s’épaississent quand la rythmique se met à chalouper, des cuivres qui répondent aux claviers, et, par-dessus tout, l’art de la nuance. Les Zénith exigent de narrer la chanson autant par la lumière que par le son. Je m’attends à un travail d’orfèvre : contrastes froid/chaud, aubes bleutées, noirs profonds, pour dessiner des reliefs à la manière d’un film. Sur scène, il a toujours cultivé ce mélange de précision et d’abandon. J’anticipe un répertoire qui croise des titres récents et des morceaux devenus des repères, ces chansons qui voyagent de disque en disque comme des cartes postales d’une même ville intérieure. Les tempos médiums, les élans orchestraux, et les refrains qui se laissent reprendre sans forcer : la matière idéale pour des Zénith où l’on vient autant écouter que se laisser emporter. La section rythmique devrait donner l’élasticité, les cuivres la couleur, et les cordes, ce halo qui rend les mélodies addictive sans les surexposer. Il y a aussi une histoire à raconter : depuis plus de vingt ans, Biolay a déplacé la pop française du côté du cinéma. Non pas par posture, mais par écriture. Des chansons cadrées comme des plans, des personnages esquissés en deux vers, des décors qui tiennent en trois accords. Cette tournure “cinématographique” trouve dans les Zénith un terrain parfait : on y construit un récit de soirée, avec des scènes, des respirations, des montées. À Paris, on cherchera forcément la fièvre du deuxième soir ; à Nantes, le plaisir de la justesse et de l’accueil ; à Lille, l’énergie d’une ville qui aime les refrains à gorge déployée. Ce qui me plaît, dans cette annonce, c’est la promesse d’un équilibre. Les grandes jauges peuvent aplatir les émotions ; lui, au contraire, s’en sert pour créer des paliers. On le sait économe de gestes, précis dans la diction, attentif au poids de chaque mot. En Zénith, cette économie devient langage visuel : une silhouette découpée sur un faisceau, une guitare qui arrive comme un contrechamp, un piano qui fixe l’horizon. Et, soudain, la foule : ces milliers de timbres qui se fondent sur un pont, ce moment où l’artiste s’efface un instant pour laisser la chanson nous appartenir. Reste la logistique, que j’aborde comme un conseil d’ami. Les catégories partent vite pour ce type d’affiche : mieux vaut se placer tôt, en surveillant les gradins centraux si vous aimez la clarté du mix, ou un peu de côté si vous préférez la proximité avec la scène. Côté son, les Zénith ont beaucoup progressé : les ingénieurs jouent désormais sur des lignes de diffusion plus fines, qui respectent la voix et laissent respirer les arrangements. Bref, tout concourt à une tournée où la chanson d’auteur se déploie à échelle XXL, sans perdre ses détails de couturier. Je referme mon agenda et je souris : l’automne 2026 aura donc cette teinte-là, un bleu nocturne traversé de cuivres et d’histoires. Il y a des artistes qu’on va voir pour vérifier ; lui, on y retourne pour se souvenir. Pour aller plus loin, en apprendre d'avantage : https://www.fnacspectacles.com/artist/benjamin-biolay/benjamin-biolay-en-tournee-3924295/?srsltid=AfmBOopeB3MOFBN_AXhhWKOcxFEmMFLvPPg3DP9sFjtjgAwLET5Bo2jG Facebook X (Twitter) WhatsApp LinkedIn Pinterest Copier le lien Précédent Suivant
- Trois trésors inédits de Charles Aznavour bientôt révélés | Radio Paname
Un coffret exceptionnel renferme des duos oubliés avec Ray Charles, Dalida… et la version méconnue de « Que c’est joli, Venise » < Retour 26 septembre 2025 E.Rials, rédacteur Trois trésors inédits de Charles Aznavour bientôt révélés Un coffret exceptionnel renferme des duos oubliés avec Ray Charles, Dalida… et la version méconnue de « Que c’est joli, Venise » Facebook X (Twitter) WhatsApp LinkedIn Pinterest Copier le lien Plus de sept ans après la disparition de Charles Aznavour (le 1ᵉʳ octobre 2018), une surprise de taille attend les mélomanes et les amateurs de la chanson française : trois chansons inédites issues des archives personnelles du chanteur vont être rendues publiques. Ces pépites s’intègrent dans le nouveau coffret Charles Aznavour, les plus belles chansons, qui paraîtra le vendredi 26 septembre. Des trouvailles musicales à redécouvrir Parmi ces inédits figure un duo surprenant avec Ray Charles, enregistré dans les années 1970, qui n’avait jamais été diffusé auparavant. L’idée de collaboration entre Aznavour et Ray Charles était dans l’air du temps — les deux artistes se portaient mutuellement admiration. Un autre duo inédit reprend Dalida, avec un échange musical sur Quand on s’aime. Là encore, l’enregistrement dormait dans les archives du chanteur. Enfin, le troisième titre dévoilé s’intitule « Que c’est joli, Venise » (vidéo ici) , qui fait écho à “Que c’est triste, Venise” — l’un des grands succès d’Aznavour. Le choix de cette version alternative ou complémentaire est intéressant : elle propose une lumière plus positive, sans la mélancolie du morceau initial. Philippe Zouari, responsable du catalogue d’Aznavour, note ainsi : « toute la tristesse du grand succès Que c’est triste, Venise, il le rend du côté positif avec Que c’est joli, Venise avec un arrangement différent ». Ces morceaux inédits proviennent des archives familiales, confiées à la maison de disques Universal, qui pilote la publication du coffret. Le coffret « Les plus belles chansons » : hommage et redécouverte Au total, ce coffret regroupera 44 titres, mêlant classiques intemporels et inédits précieux. L’idée est de célébrer la richesse du catalogue d’Aznavour, de montrer sa créativité toujours en mouvement, même dans les recoins les moins connus de son œuvre. Rappelons que durant sa carrière, Aznavour a composé ou interprété plus de 1 300 chansons, en neuf langues différentes. Il a été l’un des grands artisans de la modernisation de la chanson française, osant aborder des sujets tabous — l’identité, l’homosexualité (avec Comme ils disent), la solitude, l’engagement. Même après sa mort, l’aura d’Aznavour demeure. Ses morceaux continuent d’être repris, samplés, réinterprétés — de la scène française jusqu’à l’univers du rap ou de la pop urbaine. Pourquoi ces trois chansons méritent l’attention Inédit absolu — aucun de ces titres n’avait jamais été diffusé officiellement avant ce coffret. Rencontres artistiques surprenantes — le duo avec Ray Charles est une curiosité discographique, un pont entre deux univers musicaux que tout semble opposer mais que la musique unit. Variation d’un classique — Que c’est joli, Venise offre une réinterprétation sensible d’un morceau légendaire, permettant de redécouvrir l’émotion sous un autre angle. Pour les fans et les curieux — au-delà de l’objet pour collectionneurs, c’est une porte d’entrée vers les facettes moins explorées d’un grand artiste. Enjeux pour la mémoire musicale Ce lancement s’inscrit dans un double mouvement : d’une part, être un prolongement de la vie artistique d’Aznavour ; d’autre part, réveiller l’intérêt de nouvelles générations pour un répertoire qui reste fondamental dans la culture musicale française. Publier ces inédits, c’est aussi réaffirmer que le patrimoine musical n’est pas figé : il regorge souvent de trésors non révélés, de versions alternatives, de collaborations improbables. Pour l’auditeur, c’est une plongée dans les coulisses de la création, un témoignage de l’exigence et de la curiosité permanentes d’Aznavour. À retenir Trois chansons inédites — duo avec Ray Charles, duo avec Dalida, version alternative Que c’est joli, Venise — seront dévoilées dans un coffret de 44 titres le 26 septembre. Ces titres proviennent des archives familiales, jamais parues auparavant. Le projet rappelle que la carrière d’Aznavour, longue de soixante-dix ans, ne cesse de surprendre par sa densité et ses zones encore inexplorées. Pour les amateurs de chanson française, ce coffret sera un événement. Il promet de raviver l’émotion envers un artiste emblématique tout en offrant des révélations encore insoupçonnées. Je vous tiendrai informé dès qu’on pourra écouter ces morceaux — pour l’instant, la curiosité est à son comble. Pour aller plus loin, en apprendre d'avantage : https://www.universalmusic.fr/artistes/20000048069 Facebook X (Twitter) WhatsApp LinkedIn Pinterest Copier le lien Précédent Suivant
- Michel Jonasz enchante France 2 avec un concert unique dans Basique | Radio Paname
Le chanteur Michel Jonasz offre le vendredi 3 octobre 2025, une heure de groove, d’émotion et de poésie dans l’émission musicale de France 2 « Basique, le concert ». Soirée exceptionnelle qui rassemble générations et sensibilités autour d’un artiste inclassable. < Retour 3 octobre 2025 E.Rials, rédacteur Michel Jonasz enchante France 2 avec un concert unique dans Basique Le chanteur Michel Jonasz offre le vendredi 3 octobre 2025, une heure de groove, d’émotion et de poésie dans l’émission musicale de France 2 « Basique, le concert ». Soirée exceptionnelle qui rassemble générations et sensibilités autour d’un artiste inclassable. Facebook X (Twitter) WhatsApp LinkedIn Pinterest Copier le lien Le public de France 2 a eu droit à une soirée comme on en voit rarement à la télévision. Dans le cadre de « Basique, le concert », Michel Jonasz est monté sur scène pour partager une heure de musique intense, généreuse et lumineuse. Entre titres cultes, improvisations groove et confidences empreintes de tendresse, l’auteur de « La boîte de jazz » et de « Joueur de blues » a démontré, une fois encore, pourquoi il demeure une figure incontournable de la chanson française. Une heure de groove et d’intimité télévisée À 78 ans, Michel Jonasz conserve une énergie débordante et une voix qui n’a rien perdu de son grain si particulier. Entouré de ses musiciens de toujours, il a livré un set à la fois festif et intimiste, où se mêlent jazz, funk, soul et chanson française. L’émission « Basique, le concert », qui met en avant les grands noms de la musique dans des formats télévisés courts mais intenses, a trouvé en Jonasz un invité idéal : un artiste capable d’installer une atmosphère en quelques secondes, et de la maintenir sans relâche. La scène s’est transformée en club chaleureux, où le spectateur, qu’il soit devant son poste ou dans la salle, avait l’impression de partager un moment privilégié. Le programme a ainsi permis à un large public, parfois peu familier avec son univers, de (re)découvrir la richesse d’un répertoire qui traverse les époques sans jamais perdre en modernité. Les incontournables d’un répertoire intemporel Lors de cette soirée, Jonasz n’a pas manqué de revisiter ses morceaux les plus emblématiques. Dès les premières notes de « Super Nana » , le public a retrouvé ce mélange de légèreté et de sensualité qui caractérise ses chansons. Puis vinrent les accents mélancoliques de « Les vacances au bord de la mer » , morceau autobiographique qui évoque avec tendresse l’enfance et la mémoire collective. Bien sûr, la magie de « La boîte de jazz » a résonné, rappelant la passion viscérale de l’artiste pour cette musique qu’il n’a cessé de célébrer. Avec « Joueur de blues » , il a offert un moment vibrant, oscillant entre mélancolie et puissance vocale. Mais Jonasz n’a pas seulement interprété ses classiques : il a aussi glissé des titres plus récents, preuve que sa créativité reste intacte et que son œuvre continue de se renouveler. Une performance habitée et généreuse Si ce concert a marqué les esprits, c’est aussi parce que Jonasz ne se contente pas de chanter. Chaque morceau est porté par une présence scénique hors du commun : gestes précis, regards complices avec ses musiciens, anecdotes distillées avec humour et modestie. Il y a chez lui une capacité rare à rendre chaque spectateur complice, à transformer un plateau télé en espace de partage et d’émotion pure. La complicité avec ses musiciens, véritables partenaires de jeu, ajoute à cette impression de communion. La rythmique funk, les nappes de claviers et les envolées de saxophone rappellent combien Jonasz a su s’entourer des meilleurs pour sublimer son univers musical. Un artiste qui traverse les générations L’un des aspects les plus marquants de cette soirée est la façon dont Michel Jonasz parvient à séduire toutes les générations. Les spectateurs de longue date retrouvent leurs chansons de jeunesse, tandis que les plus jeunes découvrent un artiste qui parle d’amour, de mémoire et de liberté avec une sincérité universelle. Cette capacité à réunir au-delà des âges et des modes témoigne d’une chose : Michel Jonasz n’est pas seulement un chanteur, il est devenu une référence culturelle, une voix qui raconte autant l’histoire intime des Français que l’évolution de la chanson elle-même. Une célébration de la musique vivante Dans un paysage télévisuel où la musique se fait parfois rare, ce concert diffusé en prime sur France 2 sonne comme une bouffée d’air frais. Il rappelle combien la chanson française, nourrie d’influences multiples, garde toute sa vitalité lorsqu’elle est portée par des artistes authentiques. « Basique, le concert » a ainsi réussi son pari : offrir un écrin élégant et moderne à un artiste majeur, et rappeler que la télévision publique peut encore être le lieu de moments musicaux d’exception. Ce concert de Michel Jonasz n’a pas seulement été une performance musicale : c’était une leçon de générosité et de sincérité artistique . Entre groove et émotion, entre héritage et modernité, l’artiste a su captiver son public et prouver, une fois encore, qu’il reste l’un des grands poètes de la chanson française. Pour aller plus loin, en apprendre d'avantage : https://www.france.tv/france-2/basique-le-concert/7535195-michel-jonasz.html Facebook X (Twitter) WhatsApp LinkedIn Pinterest Copier le lien Précédent Suivant
- Ben Mazué à l’Olympia le 19 novembre 2025 : une soirée annoncée comme un sommet d’émotion | Radio Paname
Ben Mazué sera en concert à l’Olympia le 19 novembre 2025. Une soirée unique où le chanteur-poète partagera ses textes sensibles et ses mélodies intimes dans la plus mythique des salles parisiennes. < Retour 9 octobre 2025 E.Rials, rédacteur Ben Mazué à l’Olympia le 19 novembre 2025 : une soirée annoncée comme un sommet d’émotion Ben Mazué sera en concert à l’Olympia le 19 novembre 2025. Une soir ée unique où le chanteur-poète partagera ses textes sensibles et ses mélodies intimes dans la plus mythique des salles parisiennes. Facebook X (Twitter) WhatsApp LinkedIn Pinterest Copier le lien Le 19 novembre 2025, Ben Mazué investira l’Olympia , temple mythique de la chanson française. Une date unique, inscrite dans le calendrier de sa nouvelle tournée, et déjà entourée d’une aura particulière. Pour l’artiste, qui a toujours privilégié la sincérité à la démonstration, cette soirée s’annonce comme une célébration de la parole mise en musique, dans un écrin à sa mesure. Un artiste qui parle au cœur Depuis ses débuts, Ben Mazué s’est imposé comme l’un des auteurs-compositeurs les plus sensibles de sa génération. Ancien médecin devenu conteur, il écrit des chansons comme on raconte des histoires : avec précision, émotion, et une pudeur qui touche droit au cœur. De 33 ans à Paradis , en passant par La femme idéale , son œuvre tisse un fil rouge : celui des relations humaines, des épreuves, de la tendresse et de la résilience. Sa voix légèrement voilée, ses mots d’une clarté désarmante, son regard bienveillant sur les failles de la vie… tout concourt à créer cette proximité rare entre l’artiste et son public. En concert, Mazué ne « chante » pas seulement : il confie , il partage , il raconte . Chaque chanson devient une conversation, chaque silence une respiration commune. L’Olympia, symbole d’un accomplissement Jouer à l’Olympia, c’est un rite de passage, une reconnaissance inscrite dans la légende. De Brel à Souchon, de Barbara à Stromae, cette scène rouge et or porte les grandes heures de la chanson francophone. Pour Ben Mazué, qui aime les lieux intimes comme les théâtres à taille humaine, se confronter à cette salle mythique représente à la fois un défi et un accomplissement. Le 19 novembre 2025, il s’y produira dans le cadre de sa nouvelle tournée. Les places se sont arrachées en quelques jours à l’ouverture des réservations : preuve que le lien entre le chanteur et son public n’a rien perdu de sa force. Le concert s’annonce comme un moment suspendu , où l’émotion primera sur l’apparat, et où chaque mot sera pesé comme une note juste. Un concert entre introspection et partage On peut s’attendre à retrouver sur scène les titres phares de son répertoire : Sous la pluie , La mer est calme , J’arrive , Quand je marche , ou encore Nulle part . Mais Ben Mazué a l’habitude de revisiter ses chansons, d’en proposer des versions épurées ou réarrangées, pour mieux correspondre à l’énergie du moment. Il ne cherche pas à reproduire ses albums : il les réinvente , selon l’atmosphère et la réceptivité du public. La mise en scène, souvent sobre et élégante, mise sur la lumière et la narration. Pas d’effets spectaculaires, mais un jeu de clair-obscur qui souligne la voix et le texte. Les spectateurs savent qu’ils assisteront à un spectacle où chaque mot est pesé, chaque geste a du sens. « Ben Mazué ne chante pas pour briller ; il chante pour relier », disait un critique à propos de ses précédentes tournées — une formule qui pourrait bien résumer l’esprit de cette soirée à l’Olympia. Un rendez-vous avec le présent Ce concert parisien s’inscrit dans une trajectoire cohérente : après plusieurs années d’écriture, de collaborations et de silence scénique, Ben Mazué revient à l’essence de son art. L’Olympia, par sa charge émotionnelle et son acoustique exceptionnelle, sera l’espace idéal pour renouer ce dialogue direct avec le public. Ce soir-là, il ne s’agira pas seulement de musique, mais d’un moment d’écoute partagée , où l’on se reconnaît dans les mots d’un autre. Dans une époque saturée de bruits, Ben Mazué propose le contraire : une parole apaisée, poétique, sincère. Et c’est précisément ce qui fait de son passage à l’Olympia un événement incontournable de l’automne 2025. Pour aller plus loin, en apprendre d'avantage : https://www.olympiahall.com/agenda/ben-mazue/ Facebook X (Twitter) WhatsApp LinkedIn Pinterest Copier le lien Précédent Suivant
- Véronique : le documentaire qui nous plonge dans l’âme de Véronique Sanson | Radio Paname
Un film intime, des archives inédites, la voix de Véronique Sanson comme fil rouge < Retour 27 septembre 2025 E.Rials, rédacteur Véronique : le documentaire qui nous plonge dans l’âme de Véronique Sanson Un film intime, des archives inédites, la voix de Véronique Sanson comme fil rouge Facebook X (Twitter) WhatsApp LinkedIn Pinterest Copier le lien La chanson française s’apprête à vivre un moment fort : Véronique Sanson sera bientôt au cœur d’un film documentaire ambitieux, intitulé simplement Véronique , qui retracera son parcours artistique et personnel à travers des images rares, des confidences et des extraits musicaux. Réalisé par Tom Volf — déjà à l’origine du documentaire remarqué Maria by Callas — ce film est produit par l’INA en collaboration avec France Télévisions. Il s’annonce comme un portrait à la première personne, mêlant les souvenirs de l’artiste et des archives inédites, pour dévoiler non seulement la star légendaire, mais aussi la femme derrière la musique. Redécouvrir Véronique Sanson au fil des images Le documentaire Véronique s’appuie sur un matériau très riche : des captations de concerts, des séquences restaurées, des archives personnelles, des correspondances, et surtout la voix même de Sanson qui commente son histoire, ses hauts et ses bas. Il explore notamment : ses débuts dans les années 1970, lorsqu’elle côtoie Michel Berger et signe ses premiers succès — Amoureuse , Besoin de personne — avec audace et originalité ; son départ pour les États-Unis avec Stephen Stills, période charnière marquée par une explosion de liberté artistique mais aussi par des épreuves personnelles ; les années de retour en France, les tournées, et les combats silencieux — santé, fragilité, remises en question — dont elle a parlé publiquement à travers interviews et récits intimes. Un détail notable : le film a déjà été présenté en avant-première au Festival du film francophone d’Angoulême , où il a reçu une standing ovation , signe que le public est prêt à redécouvrir Véronique dans ce format intime et vivant. Pourquoi ce documentaire est attendu 1. Une voix, un regard direct Le film souhaite donner à Véronique Sanson le dernier mot — elle commente ses choix, ses silences, ses blessures, ses renaissances. Cela promet une approche honnête et fragile, loin des portraits trop lissés. 2. Un trésor d’archives inédites L’INA ouvre ses coffres : images restaurées, documents personnels, captations oubliées… Autant de témoignages visuels qui permettront de porter un regard historique sur une carrière longue de plus de cinq décennies. 3. L’empreinte d’une artiste libre Véronique Sanson a traversé des périodes de gloire, des ruptures douloureuses, des absences médiatiques, des défis de santé. Le documentaire propose de montrer ces fragments d’ombre et de lumière, en insistant sur la cohérence de sa voix artistique, persistante et sincère. 4. Un moment de mémoire collective Pour les fans de la chanson française, ce documentaire est un événement culturel : renouer avec une artiste majeure, redonner vie à des morceaux mythiques comme Chanson sur ma drôle de vie , Vancouver , J’me suis tellement manquée , et mieux comprendre le contexte artistique de chaque époque. À quoi s’attendre — et quand ? Le documentaire Véronique devrait être diffusé sur France Télévisions avant la fin de l’année 2025. Il ne s’agit pas d’une fiction ni d’un biopic romancé, mais d’un film musical-documentaire , respectueux de la vérité des faits et nourri par la musique elle-même. Ce type de documentaire a plusieurs enjeux : Culturel , en inscrivant la carrière de Sanson dans l’histoire de la chanson française ; Émotionnel , pour les auditeurs qui suivront ce voyage intérieur aux côtés de l’artiste ; Médiatique , car il contribue à maintenir une mémoire vivante et à toucher les nouvelles générations. Avec Véronique , Tom Volf et l’INA offrent à Véronique Sanson un écrin sensible et exigeant. Plus qu’un simple hommage, le film promet d’ouvrir une fenêtre sur l’intimité d’une icône qui a toujours mis sa voix au premier plan de sa vie. Pour les amoureux de la musique et les curieux, ce documentaire pourrait bien devenir un moment de référence dans la célébration du patrimoine de la chanson française. Pour aller plus loin, en apprendre d'avantage : Facebook X (Twitter) WhatsApp LinkedIn Pinterest Copier le lien Précédent Suivant
- Cœur de pirate déploie sa cavale : retour en France, Olympia en point d’orgue | Radio Paname
La reine de la chanson francophone, Cœur de pirate, revient hanter les scènes avec une intensité nouvelle : le 12 mars 2026, elle investira l’Olympia à Paris pour une date événement, au cœur de sa tournée Cavale, portée par un nouvel album éponyme sorti à l’automne 2025. < Retour 16 octobre 2025 E.Rials, rédacteur Cœur de pirate déploie sa cavale : retour en France, Olympia en point d’orgue La reine de la chanson francophone, Cœur de pirate, revient hanter les scènes avec une intensité nouvelle : le 12 mars 2026, elle investira l’Olympia à Paris pour une date événement, au cœur de sa tournée Cavale, portée par un nouvel album éponyme sorti à l’automne 2025. Facebook X (Twitter) WhatsApp LinkedIn Pinterest Copier le lien Dès l’affiche, le contraste captive. La silhouette élégante de l’Olympia, temple historique du music-hall, accueille à nouveau Béatrice Martin. Son spectacle débute à 20h, avec des billets dont les prix oscillent entre 45 € et 65 €. Par la géométrie du lieu, c’est comme si chaque spectateur était convié à partager une confidence — ou à vivre une cavale collective. Cette escale française s’inscrit dans une tournée longue et ambitieuse qui mêle dates au Canada, en Belgique, aux Pays-Bas et en France métropolitaine. Le tournant tient dans l’album Cavale , septième opus de l’artiste, qui marque une nouvelle étape. Sa sortie a généré une forte résonance dans les charts francophones, confirmant que même après plus de quinze ans de carrière, elle sait surprendre — plus douce, parfois plus audacieuse, souvent plus habitée qu’avant. J’ai pris le temps d’écouter certaines des premières critiques et témoignages : les fans évoquent un spectacle où la nuance prime. On y voit la pianiste délicate, mais aussi la performeuse qui ose des envolées rythmiques, un décor grandiloquent qui joue avec l’ombre et la lumière. Le spectacle semble pensé comme un voyage intérieur : des moments de recueillement, puis des envols collectifs. De fait, sa voix se pose souvent comme un fil tendu où l’émotion circule — fragile, puissante, subtile. Un amateur note que la scénographie mêle la sobriété du piano à des ruptures inattendues, comme si l’artiste jouait en permanence avec une tension latente. Plusieurs journalistes francophones évoquent les albums précédents — notamment Impossible à aimer — comme des avant-coulisses de cette démarche, dont Cavale serait l’aboutissement. Artistiquement, cette tournée s’inscrit dans une trajectoire plus vaste. Cœur de pirate a toujours dialogué entre la confession intime et le désir de partage : dès ses débuts, elle proposait ses chansons au piano, simple, directe, mais avec une plume jamais neutre. Avec Cavale , elle semble accentuer ce dialogue, en révélant que l’élan et la blessure peuvent cohabiter. Le choix de l’Olympia pour l’une des dates phares n’est pas anodin : c’est un lieu de légende, où d’autres grandes voix de la francophonie sont passées — et où chaque note porte un peu d’histoire. Sur le plan culturel, on observe un regain d’intérêt pour les artistes francophones issus du Québec : leur capacité à traverser l’Atlantique, à fédérer publics européens et canadiens, contribue à repenser la francophonie musicale comme un espace vivant, interconnecté. Dans ce contexte, le retour de Cœur de pirate séduit parce qu’il n’est ni nostalgique ni conservateur : elle avance, se renouvelle. Que peut-on attendre de cette soirée à Paris ? Sans doute un moment de force contrastée, une cérémonie de confidences et de célébration. Le public parisien l’a déjà adoptée ; il ne reste qu’à imaginer les regards surpris, les notes suspendues, les chœurs improvisés. Si Cavale est bien cette quête à la fois frémissante et résolue, alors ce concert à l’Olympia n’est pas seulement une date de tournée : c’est une halte pour se rappeler — ensemble — que la musique peut être une balade intérieure, une cavale partagée. Pour aller plus loin, en apprendre d'avantage : https://www.olympiahall.com/agenda/coeur-de-pirate/ Facebook X (Twitter) WhatsApp LinkedIn Pinterest Copier le lien Précédent Suivant











